[Rp] Arrivée de Charles de Raveline (Number one!)

Nombre de messages : 213 Date d'inscription : 02/05/2012

A cheval. Et bien oui, le jeune bourgeois n'avait pas encore son carrosse. Il devait encore l'attendre. C'était normal, il l'avait commandé il y a si peu de temps. Mais il en avait tellement envie! Il était tellement pressé de l'avoir! De le voir tout simplement!

Mais pour le moment, il devrait se contenter des chevaux. D'ailleurs, c'était eux qu'il était venu voir. Il approchait du castel. Et on pouvait en effet parler de castel, même de château fort! Charles en était surpris. Il s'était attendu à trouver une seigneurie assez luxueuse, ou bien plus... artisanale dirons nous! Mais pas une seigneurie qui en apparence était très militaire! Quoiqu'il ne voyait pas tant de soldats que cela.

Au moins y avait-il un lieu pour se faire annoncer. Une sorte de guérite. Il se serait mal vu crier pour se faire entendre du haut des remparts. Cela n'aurait entrainé que des rires des hommes qui gardaient le château.

Salutations, je suis venu à la demande du Seigneur de Frouard. Pouvez-vous lui annoncer Charles de Raveline je vous prie?

Il était descendu de sa jument que Sebastian son majordome tenait par les rênes.

Vassal Nombre de messages : 154 Date d'inscription : 10/01/2013

Un garde était de quart à la guérite attendant les visiteurs ou autre chose d'ailleurs, on ne pouvait savoir ce qui allait se passer dans la journée, il voyait un peu de tout ces derniers temps, c'était que le seigneur recevait pas mal de visite d'artisans et autre ou de ses collégues qui couraient annoncer l'arrivé de tel ou tel matériaux. Nous allons rendre un travail digne de la postérité qu'il avait dit le seigneur, bein en même temps, lui il avait toujours pas compris ce qui se passait, il s'en foutait comme de sa dernière carrie! Il ne fut donc pas surpris d'entendre arrivé des cavalier, mais par contre, il ne s'attendait pas à ce standing, il fut donc légèrement surpris, cela lui changeait des artisans plein de suis ou tout crado.

Il écouta la personne s'annonçait et envoya un autre homme prévenir le seigneur, il prit alors la parole.

Bonjour messire de Raveline, je vous en prie, suivez moi, vos montures, vous pouvez les laissez aupalefrenier la, il va s'en occuper.

Il leur fit signe de le suivre et guida le msssire jusqu'au bastion central enlongeant la muraille secondaire pour atteindre l'autre porte qui était ouverte et pareil pour la troisiéme. Puis ils arriverent enfin devant l'entrée du bastion ou le seigneur de Frouard prit la parole, il ne demanda pas son reste et se mit sur le coté, restant disponible quelques instant, puis il retournerait à sa guérite.

Bonjour Charles, quel bonne suprise que celle de vous voir, avez vous fait bon voyage ? Bienvenue en mon humble demeure, comme vous le voyez, j'aime bien le solide dit'il en tapotant le mur bien épais avec un sourire

Je vous en pris, rentrons, rentrons, nous serons plus à l'aide que dehors, mon sallon est un peu plus confortable.

Il accompagna le geste à la parole en illustrant ses dires d'un petit signe de la main.

Nombre de messages : 213 Date d'inscription : 02/05/2012

Charles laissa donc ses chevaux à un palefrenier qui passait par là. Son majordome le suivit, et tous deux emboîtèrent le pas du garde. Mais en conséquence d'avoir laisser les chevaux au palefrenier, ils durent marcher. Longer une première muraille, puis une seconde avant de pouvoir enfin entrer dans l'enceinte de l'ultime muraille. La terre entre les murailles était en terre battue, et parfois il y avait quelques cailloux que le jeune homme sentit sous ses pieds. Il ne portait en effet que des bottes légères, bien utile pour l'équitation, mais peu agréable pour marcher. Il fut donc bien content lorsqu'ils se présentèrent devant les portes du bastion où les attendait le seigneur des lieux.

Il écouta donc ce dernier, essayant de se faire le plus léger possible. Les cailloux lui rentraient dans la plante des pieds! Et il n'arrivait pas à trouver une position, sans trop bouger, où il ne sentirait rien lui rentrer la peau. Les bottes étaient là pourtant! Tss...

Salutations. Et bien ma foi le voyage s'est très bien passé. Et bien je vous suis.

Le solide, oui il avait l'air d'aimé mais ce n'était pas trop au goût du jeune bourgeois, qui entra à la suite du seigneur. En espérant que ce soit plus chaleureux à l'intérieur. Pas que le seigneur n'était pas chaleureux, loin de là, c'était les pierres grises, c'était froid!

» Rencontre avec Charles de Raveline