Cérémonie d'anoblissement de Lisandru et Séwen ? Par ici les invités !

Le serviteur s'affairait, la Duchesse l'avait bien avisé d'accueillir les invités avec soin et diligence et surtout ne pas les faire attendre ! Aussi, était-il allé voir les gardes en service ce jour-là pour transmettre les consignes de la maîtresse des lieux.

Y aura beaucoup de beau monde ! Y faut surveiller que les gens sont bien invités, pis pas faire rentrer n'importe qui ! Mais pas les faire attendre non plus... moi je vais les amener à la salle de réception dès qu'y sont passés par les portes d'entrée. Des questions ?

Romain avait l'habitude de ne soigner son langage que lorsqu'il était en présence de la Duchesse ou de ses invités, aussi ne se forçait-il pas en compagnie des gens de son rang. Néanmoins, le serviteur était prudent, il l'était depuis qu'il avait été assommé pendant l'attaque contre le carrosse ducal, il s'estimait heureux de ne pas avoir été chassé de son poste après le drame et faisait tout pour se racheter.

Nombre de messages : 464 Localisation : Epinal Date d'inscription : 11/10/2011

Cérémonie d'anoblissement de Lisandru et Séwen ? Par ici les invités ! 5037791280415973257full

Le soleil se levait à peine baignant dans des auras orangées à rouges. Les étoiles se couchait et les oiseaux commencèrent seulement à acclamer l'arrivée du jour nouveau dans des pépiements joyeux. Écrasant la terre molle de ses sabots, la jument blanche guidait son maitre vers sa destination. C'est que depuis la fin de sa mission, il s'était acheté un autre cheval, son Tornade ayant rendu l'âme après des années de bon et loyaux service envers le jeune garçon qu'il était à l'époque et l'homme qu'il était devenu à présent.
Il en avait eu gros sur le cœur mais c 'était la vie de tous et le Très Haut accordaient l'amour à tout les êtres de la terre, même les animaux qui disait on ne pouvait le comprendre.

Alors qu'il traversaient les allées dans un chemin boisés ou les ranches des arbres s’entremêlaient formant un toit au dessus de son chapeau à plume, Lisandru restait pensif en voyant ua loin le Château de Pompey. Autant le jour allait être important pour lui, autant il avait une certaine appréhension. Il ne savait ni à quoi s 'attendre ni ce que la journée allait lui réservée comme surprise. Mais c'était la tête droit et l'allure fier qu'il s'approchait de l'endroit.

Déjà très tôt dans la matinée, il avait fait levée sa gouvernante pour lui demandé son aide et un avis sur la tenue la plus disposée pour la journée. Quand il lui avait apprit les raisons quelques jours plus tôt, cette dernière c'était mise a sauté de joie dans toute la baronnie. Écoutant les conseils de la vieille dame, il avait mit un mantel bleu foncé presque noir avec un collier assez simple et sobre, le crane rasé comme sa barbe soigneusement. Une fois près, il avait fait sellé Cendre de lune puis était partit sans plus attendre. Il n'aurait plus su dormir ni faire quoi que ce soi. Il allait être anoblit en ce jour par la plus grande Dame qu'il lui ai jamais connu en Lorraine, excepté sa défunte mère bien sur.

C'était un honneur une fierté, une marque de confiance dont il avait remercier le Tout Puissant bien cent fois déjà. c'était aussi toute sa vie qui allait en être bouleversée. La première chose allait être qu'il devrait s'occuper de ses terres et à contrecœur s'éloigner du domaine de son père, la terre familial où il avait grandit pour un temps. La seconde était qu'il allait pouvoir enfin épousé la femme de son cœur en toute légitimité en sortant de cette situation entre deux étaux causée par les lois Française.

*Cassandre....*

Alors que son cheval s'avançait, il pensait à elle, résidant pour le moment dans un petit appartement à Épinal, il n'avait pas manqué de lui envoyé l'invitation avec un billet doux et un bouquet de roses rouges. Viendrait elle ? Son esprit redessinait le moindre détail de son visage devant lui.

Viendrait ils ? Pensa t'il ensuite en pensant à son père, sa sœur, sa cousine ,ses tantes et toute sa familles puis ses amis. Il n'avait plus le temps de penser, il venait d’arriver devant le pont levis. Il donna une talonnade sur sa jument et tira un coup sur le licol. Bien dressé, la bête plia une de ses jambes pour salué

Bonjour, Lisandru Michiel d'Acoma, je suis un peu plus tôt que prévu

Annonça t'il en se présentant devant le garde en le regardant, ses yeux noirs fixé sur lui et un sourire aimable

Tu y as demandé son nom ?

Un des gardes était devant lui, répétant le nom du premier invité

Lisandru Michiel d'Acoma

Le serviteur bondit sur ses pieds, un des futurs vassaux ! Lui qui pensait pouvoir faire un peu la sieste encore, ses plans se voyaient tout à coup réduits à néant !

Fais lui passer les portes, j'arrive !

Pendant que le garde revenait en vitesse pour rejoindre son confrère et lui signifier que c'était bon, ils ouvrirent les lourdes portes et firent signe au jeune homme de passer, lui indiquant l'entrée du Castel. Aussitôt, tout se mit en marche, un palefrenier arriva d'un pas lourd, claudiquant légèrement de la jambe gauche, souvenir d'un jeune étalon sauvage alors que Romain, qui avait remis sa veste en vitesse, avait suivi de peu le garde et attendait l'invité devant l'entrée du Château, il s'inclina.

Messire d'Acoma, bienvenue au Château de Pompey, si vous voulez bien me suivre jusqu'à la Salle de réception, Sa Grâce arrivera sous peu.

C'était la façon polie de le faire patienter un peu, le temps qu'il courre prévenir la Duchesse ! D'un geste de la main, il l'invita à le suivre à l'intérieur dans un large hall dont des armes et des tapisseries ornaient les murs de pierre puis tourna à droite jusqu'à la salle prévue pour les anoblissements.

Nombre de messages : 464 Localisation : Epinal Date d'inscription : 11/10/2011

Lisandru vit le garde partir. Il allait surement prévenir quelqu'un de son arrivée, en même temps si lui ne venait pas ni les deux autres futurs vassaux, il y allait avoir un problème dans la journée. Son cheval semblait nerveux, surtout après la longue ballade à laquelle il n'était pas encore habitude. Elle tapait du sabot sur le sol surement pour demandé sa ration d'eau.

Le cavalier lui flatta l'encolure pour le calme. Enfin après quelques minutes d'attentes, le pont levis se baissa et la herse se leva. D'un coup de talonnade, Lisandru fit avancer sa jument jusqu'à l'autre côté. Une fois passé dans la petite cours, il descendit de sa monture

Elle est encore jeune et fougueuse, prenez en soin

Dit il l'intention du palefrenier ne doutant point que son cheval sera traité convenablement mais il ne voulait pas non plus que sa monture leur pose problème. il vit un autre serviteur arrivé s'inclinant, le jeune homme inclina la tête respectueusement. Il allait devenir noble certes mais en tout point il garderait son code d'honneur. Combien en connaissait il s qui narguaient les domestiques les prenant juste pour des mains bonnes à tout faire ? Il n'était pas de ceux là

Bien le bonjour, merci je vous suis.

Laissant son cheval partir vers les écuries, il s'empressa de suivre le jeune homme jusqu'à la salle de réception

Cérémonie d'anoblissement de Lisandru et Séwen ? Par ici les invités ! Copie_55

la calèche s’arrêta et la voix du cocher se fit entendre..

Hola!! du pont levis... fit le cocher, d'une voix a faire réveiller un mort, puis une voix dans le carrosse continua..

Dame Princess Séwen d'Amencey de Bellac et Apollon son époux...
ou devons nous, nous rendre je vous prie, nous somment attendu, pour la cérémonie, et nous souhaiterions nous rafraichir avant que cela débute...

Dans le carrosse se trouvait Princess Séwen et effectivement en compagnie de son époux, tout deux venaient tout juste de terminer
leurs noces, et étaient sur la route de leurs lune de miel.

Le voyage c'était bien déroulée jusqu'à présent et tout ce qu'ils souhaitaient c'était de retrouver leurs amis et aussi de se rendre dans la ville ou Apollon avait sa maison, pour y faire un bout de leurs vie déjà...
En attendant que quelqu'un ne vienne et les emmènent là ou ils seraient attendus, et soigné, Princess dit à son époux ce qu'il devait savoir sur son amie jade, qu'ils avaient reçu au mariage et la tragique histoire de son veuvage soudain.

La belle en avait les larmes aux yeux en lui expliquant cela et en espérant qu'il ne lu arriva pas la même chose, ou à elle ou à lui.

Affairé à la salle de réception, on vint le quérir, des invités arrivaient. Il s'informa des noms, une future vassale était là !

J'arrive immédiatement !

Les gardes abaissèrent le pont-levis et ouvrirent les lourdes portes signifiant ainsi que l'autorisation de passage était accordée avant d'indiquer au cocher l'entrée du Castel. Un palefrenier se présenta, le même boiteux qui avait soigné le cheval du jeune d'Acoma et Romain, qui avait déjà rencontré la dame, l'attendit de même que son époux devant l'entrée du Château, il s'inclina.

Dame et Messire d'Amencey de Bellac, bienvenue au Château de Pompey, si vous voulez bien me suivre jusqu'à la Salle de réception, un invité y est déjà et Sa Grâce arrivera sous peu.

D'un geste de la main, il l'invita à le suivre à l'intérieur, traversant un large hall dont des armes et des tapisseries ornaient les murs de pierre avant de désigner une entrée à la droite, celle de la salle prévue pour les anoblissements.

Le petit véhicule de louage arrivait en vue du pont-levis de l'immense domaine. Le cocher annonça une invitée pour les anoblissements prévus ce jour et le garde laissa passer la voiture, à son bord une passagère un peu anxieuse.

Le temps de payer le coche de quelques écus et la jeune fille descendit, à nouveau vêtue d'une robe, bon gré mal gré. Il allait falloir cesser toutes ces festivités pour qu'elle puisse retrouver le confort et la liberté de ses braies.

Elektra jeta un regard circulaire autour d'elle, l'endroit était magnifique, la journée s’annonçait on ne peux plus agréable et elle n'avait qu'une hâte, retrouver ses cousins. Une personne s'approcha et elle lui sourit, puis se présenta, impatiente de tout découvrir.

Bonjour ! Je m'appelle Elektra d'Acoma, cousine de messire Lisandru d'Acoma. Je le rejoints pour son anoblissement.

Les mains lissant les cotés de sa robe, elle attendit que l'homme veuille bien la conduire à Lisandru.

Romain savait qu'il ferait plusieurs allers et retours ce jour-là mais qu'importe, c'était un grand jour et il n'était pas un paresseux. Il était jeune, ses chausses étaient confortables, aussi de quoi pouvait-il se plaindre ?

Les gardes avaient laissé le pont-levis abaissé mais n'ouvraient les lourdes portes signifiant que sous autorisation de passage. Cette invitée l'ayant obtenu, ils avaient indiquer au cocher l'entrée du Castel. Romain se présenta pour offrir l'aide de son bras à la descente du carrosse avant de s'incliner après que la jeune femme se soit présentée.

Damoiselle d'Acoma, bienvenue au Château de Pompey, si vous voulez bien me suivre jusqu'à la Salle de réception, des invités y sont déjà.

D'un geste de la main, il l'invita à le suivre à l'intérieur, traversant un large hall avant de désigner une entrée à la droite, celle de la salle prévue pour les anoblissements.

Nombre de messages : 9 Date d'inscription : 18/10/2011

De noble chevaux un carrosse bien trop grand pour une seule personne et une robe sur mesure voilà comment la fille de la Triple vicomtesse arriva en l'occasion de l'anoblissement de Lisandru.

Un Grand jour pour lui, mais quoi lui offrir ? Des Macarons ? non ....toute façon elle avait déjà tout mangée .... Pourquoi pas un ...un ...Oh oui cette idée était magnifique. Elle s'arrêta avant d'arriver au château chez un éleveur de chevaux.

Elle n'y connaissait pas grand-chose mais heureusement son maitre d'arme, la habituellement pour la sécurité de la pucelle, l'aida à choisir. Et vu le prix de la monture, qui serait sans doute une fortune pour une gueux, elle ne douta pas que ce cadeau aller lui plaire...ou pas!

Une magnifique monture noire, l'éleveur lui avait confié qu'il fallait un excellent cavalier pour pouvoir la chevauché, Cassandre l'avait vitre remarquer, car durant le trajet la bête avait cabré plusieurs fois essayant de partir bien plus vite que le carrosse ne le pouvait. La blonde aux yeux vert réfléchit longuement confiant à sa nourrice ses craintes pour cette monture qui n'avait pas l'air dresser comme il le fallait

Il faudrait que je prévienne Lisandru ou que je change de cadeau je n'aimerais pas qu'il se blesse par ma faute de plus le dresseur lui même n'a pas voulu monter.

Il avait mal au dos damoiselle ....

Je me demande si sont mal de dos n'était point une excuse ....

La chaperonne rappliqua alors :

Il monte très bien ne vous inquiétez pas puis si cette bête manque de fermenter je suis sûr qu'elle la trouvera avec le fils du Baron

Mais après combien de chute ....

Il n'était plus temps de réfléchir, plus temps de changer de cadeau, car elles étaient à présent arrivaient au château .

La carrosse s'arrêta, mais pourtant elle sentit une légère pression vers l'arrière .... Encore cet Etalon qui faisait des siennes ... La chaperonne sortie la tête et dit :

Bonjour Dame Cassandre Louna de Leffe van Loos et moi même, Sophie, sa chaperonne sommes venues ici pour l'anoblissement du fils le baron, Lisandru Michel d'Acoma .

Elle fit un signe vers l'arrière du carrosse et ajouta

Nous avons également un présent pour lui à cette occasion ...

La chaperonne tout comme la pucelle avait hâte de se débarrasser de cet animal, pour sûr, ce n'ai pas le cheval de la mère de Cassandre, Jolie coeur, qui aurait fait un tel cirque malgré sa fougue !

Nouvel aller retour pour le jeune homme alors que les gardes ouvraient les lourdes portes signifiant ainsi que l'autorisation de passage était accordée avant d'indiquer au cocher l'entrée du Castel. Un palefrenier se présenta de même que Romain qui s'inclina en aidant la damoiselle et son chaperon à descendre du carrosse puis s'inclina pour l'accueillir.

Damoiselle Louna de Leffe van Loos, bienvenue au Château de Pompey, si vous voulez bien me suivre jusqu'à la Salle de réception, les invité arrivent.

D'un geste de la main, il l'invita à le suivre à l'intérieur, traversant un large hall dont des armes et des tapisseries ornaient les murs de pierre avant de désigner une entrée à la droite, celle de la salle prévue pour les anoblissements.